Dès qu'il s'aperçoit qu'il est livré à lui-même dans la jungle dombiste, il se rue vers la porte-fenêtre avec l'énergie du désespoir. C'est vraiment pratique : on n'a jamais besoin de lui courir après pour le rentrer avant de quitter la maison ou d'aller se coucher.
Ah, et il a aussi déchiré toute la tapisserie au-dessus de l'arbre à chat du salon. Je lui en sais grand gré, j'ai enfin une excuse valable pour virer entièrement ce truc immonde, et notamment la frise épouvantablement laide à base de petites fleurs roses qui court tout autour du plafond.
En bref, Gredin s'avère un chaton pratique, jusque dans son format "pocket", si on excepte la vilaine manie dont il refuse de se départir...
... se servir de Garfield comme coussin couineur/punching ball/trampoline.
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